Comment puis-je découvrir mes défauts ?

Comment je peux découvrir mes défauts ? C’est une question qu’on se pose tous, non ? On a tous nos petits travers, nos zones d’ombre… Mais des fois, c’est tellement difficile de les voir ! Comme un point aveugle, tu vois ?

Demander aux autres, c’est une bonne idée. À ceux qui nous connaissent vraiment, j’entends. Pas la collègue qu’on croise à la machine à café. Non, plutôt la meilleure amie, le frère, la mère… Ceux qui n’ont pas peur de nous dire la vérité, même si elle pique un peu. Un questionnaire, pourquoi pas ? Ça peut aider à structurer un peu les choses. J’imagine que ça doit faire bizarre de lire noir sur blanc ce que les autres pensent de nos défauts… Un peu comme une leçon d’humilité, ouais. On s’attend à des compliments et paf ! La claque.

Mais attention, “critiques constructives”, c’est le mot-clé. Pas question de se faire descendre en flammes ! J’ai une amie, par exemple, elle a demandé à son copain ce qu’il pensait d’elle, comme ça, à brûle-pourpoint. Il lui a sorti une liste longue comme le bras ! Elle était dévastée. Du coup, ça a mis un sacré coup de froid dans leur couple. Faut y aller mollo, quoi. Poser des questions précises, peut-être ? Genre, “Tu trouves que je suis trop impatiente parfois ?” Ou encore, “Est-ce que tu penses que je me plains trop ?” Des trucs comme ça.

Et puis, faut être prêt à entendre des choses qui ne nous plaisent pas. C’est pas toujours facile d’accepter ses défauts. On a tous tendance à se trouver des excuses. “Oui, bon, je suis un peu bordélique, mais c’est parce que je suis créatif !” On se raconte des histoires, quoi ! Mais bon, si on veut vraiment s’améliorer, faut bien se confronter à la réalité, non ? C’est comme… j’sais pas… comme si on voulait apprendre à jouer du piano sans jamais écouter les fausses notes. Ça n’a pas de sens. Donc voilà, il faut accepter la critique, même si c’est dur. Et puis, qui sait ? Peut-être qu’on découvrira qu’on a finalement beaucoup plus de qualités que de défauts ! (On peut toujours rêver, hein ?)