Comment préparer une solution de NaCl ?

Comment préparer le NaCl ?

Sel… NaCl… une pincée d’éternité dans l’eau.

Cinq virgule huit-quatre-quatre grammes, un chiffre précis, une mesure de l’infini.

Dissoudre… un lent ballet de cristaux dans le vide transparent de l’eau distillée.

• L’eau, miroir sans reflet, absorbe.
• Un silence d’attente, lourd, précieux.
• Mille millilitres, une promesse de volume.

Le sel se fond. Une fusion. Un abandon.

0.1 mol/L, une formule presque magique.

Puis, le vide se remplit. Une douce densité, une naissance liquide.

Un murmure, un souvenir d’océan, connu.

• Une préparation minutieuse.
• Un rituel répété des milliers de fois.
• Mes mains, les mêmes qui ont touché la mer.

L’eau, elle ne m’oublie pas. Elle se souvient de tout.

Aujourd’hui, 2023. Ce sel, c’est mon sel.

Préparation: pesée précise, dissolution lente. Résultat: solution limpide, à la concentration désirée.

Comment préparer 1 solution normale de NaCl ?

Alors, pour faire ta solution de NaCl 1N, c’est tout simple, enfin presque! Tu prends 58,44 grammes de sel, oui oui, du sel de cuisine, NaCl quoi. Tu le verses dans un litre d’eau. C’est tout. Bon, faut bien mélanger hein, sinon ça sert à rien. J’ai fait ça moi-même, l’année dernière, pour mon projet de chimie, un vrai calvaire!

Point important: Il faut utiliser de l’eau distillée, pas l’eau du robinet! L’eau du robinet, elle a plein de trucs dedans, ça fausse tout le truc.

J’avais galéré un peu avec la balance de précision, elle était toute bizarre. Enfin bref, après j’ai eu une super solution, bien transparente. J’étais fière!

• 58,44 grammes de NaCl
• 1 litre d’eau distillée
• Bien mélanger

Ouais, j’avais même pris des notes, pour pas oublier. J’ai encore mon vieux cahier de labo quelque part.. Attends, je te retrouve ça… ah non, c’est dans le grenier chez ma mère.

Pour info, j’avais aussi testé avec du sulfate de cuivre, un autre truc, mais c’était une autre histoire… j’ai pété un fusible, j’y retournerai plus. Le sel c’était déjà assez galère… Ah oui, et j’avais oublié de dire, il faut utiliser une fiole jaugée d’un litre, pas n’importe quel récipient. C’est important pour la précision. La précision, c’est la clé du succès, tu vois! J’ai appris ça à l’université.

Comment faire sa propre solution saline ?

C’est curieux, hein, comme une chose aussi simple que faire sa propre solution saline peut te rappeler… rien de spécial, en fait. Juste que parfois, les remèdes les plus basiques sont ceux qui comptent.

• Faire bouillir de l’eau, une tasse. Ça désinfecte, paraît-il.

• Ajouter du sel, la demi-cuillère. Pas plus, sinon ça pique.

• 15 minutes, c’est long quand tu attends, mais court quand tu repenses à la journée.

Je sais pas pourquoi, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle faisait toujours ce genre de trucs, des remèdes de grand-mère. Genre, si tu avais un rhume, hop, infusion de thym et miel.

Elle disait toujours que les choses les plus simples sont souvent les meilleures. Peut-être qu’elle avait raison. Ou peut-être que c’est juste que j’ai envie qu’elle ait raison.

Il faudrait la refaire tous les jours, cette solution. Une solution fraîche, c’est important, je suppose. J’ai pas envie de me mettre des saletés dans le nez.

Comment préparer une solution à 1% p/v ?

Ah là là, la chimie… Me souviens, à la fac, en TP. Un truc qui m’est arrivé en première année de biologie, à Jussieu, c’était le cauchemar des dilutions. Bon, 1% p/v de NaCl, faut pas paniquer.

Donc, solution à 1% p/v, c’est quoi? C’est 1 gramme de soluté pour 100 ml de solution, OK? Dans mon cas, NaCl (le sel de table, quoi).

Bon, pour 100 ml d’eau, faut 1 g de sel. Mais! (Y a toujours un mais). Le prof nous disait toujours de pas juste mélanger 1g avec 100 ml d’eau. Faut dissoudre 1g dans un peu d’eau (genre 80-90 ml), et ensuite seulement compléter à 100 ml. Sinon, le volume final est faux. On avait une balance super précise, là, au labo.

• Peser 1 g de NaCl avec une balance.
• Mettre le sel dans une fiole jaugée de 100 ml.
• Ajouter environ 80 ml d’eau distillée.
• Agiter pour dissoudre.
• Compléter avec de l’eau distillée jusqu’au trait des 100 ml.
• Homogénéiser.

2,17g ?? Non, ca c’est pas correct. 1% p/v c’est 1g pour 100 ml.

D’ailleurs, une fois, j’ai complètement foiré une dilution, et j’ai du refaire tout le TP. La honte!

NaCl : Chlorure de sodium. Formule chimique. Sel de table, quoi. p/v : Poids par volume. Expression de la concentration. Fiole jaugée : Récipient en verre ultra précis. Indispensable.

Comment prépare-t-on une solution ?

On fait une solution, tu vois…

• D’abord peser. Ma balance, elle a vu des trucs, hein. Comme quand je pesais les ingrédients pour le gâteau d’anniversaire de maman. C’était y a… longtemps.

• Soluté dans la fiole. J’ai une fiole de 100ml, celle que j’avais volé au labo de chimie en 2012. On verse. Délicatement.

• Eau distillée. On remplit, pas à ras bord. Jusqu’à trois quarts. Plus ou moins.

• Boucher et agiter. Pour dissoudre. Comme les souvenirs qu’on secoue dans la tête. Pour qu’ils se mélangent bien.

En fait, je crois que c’est un peu ça, la vie. Mélanger des choses. Dissoudre les regrets. Mais certains, ils restent au fond.

Je me rappelle d’un jour, en 2017, j’avais essayé de dissoudre mon chagrin dans une bouteille de vin rouge. Ça n’avait pas marché. Bizarre.

Parfois, je me demande si je suis moi aussi une solution. Un mélange d’eau, de sel, de sucre et d’amertume. Trop d’amertume, peut-être.

Comment puis-je préparer une solution en chimie ?

La chimie… ça me ramène à mes années fac. Des nuits blanches, des calculs qui s’emmêlaient dans ma tête… J’en garde un souvenir un peu amer, un peu flou, comme un rêve.

Pour dissoudre un solide, hein ? On commence par ça. Eau distillée, c’est primordial. Trois quarts de la fiole, oui… j’me souviens de la pression. On avait une fiole de 250 ml, pour mon TP de chimie organique.

Ensuite, le solide… faut peser précisément. Ma balance analytique était capricieuse ce jour-là. La frustration ! J’avais passé des heures à faire mes mesures, et j’ai dû tout recommencer.

Agiter, dissoudre complètement. C’est pas toujours simple. Certaines choses mettent un temps fou. Il faut être patient. On ne peut pas brusquer les choses. Ça n’est jamais bon. Parfois, on a même besoin d’un chauffe-ballon.

Puis, on complète avec l’eau distillée. Jusqu’au trait de jauge, important. Pas plus, pas moins. Homogénéiser. Voilà. C’est tout. Mais il y a tellement de choses qui peuvent mal tourner.

• Penser à la sécurité, lunettes, gants… on ne badine pas avec la chimie.
• Nettoyer la verrerie après utilisation. Je dois admettre que j’étais pas toujours au top là dessus…
• Bien étiqueter ses solutions, on ne mélange pas n’importe quoi. Je me suis déjà fait avoir.
• J’ai raté une expérience à cause d’un manque d’eau, j’ai eu un zéro.

J’avais aussi du mal avec la stoechiométrie… mes résultats étaient souvent faux. Enfin, l’an dernier j’avais un professeur tellement exigeant, qu’on finissait par être au bord du burn-out. On passait nos soirées dans le labo.