Comment être fort en cuisine ?

Ah, la cuisine… soupire. Être “fort” en cuisine, vraiment fort… c’est pas juste savoir faire une béchamel sans grumeaux, vous voyez ? C’est… c’est tellement plus que ça.

D’abord, et ça c’est hyper important, faut aimer ça. Vraiment. Sinon, autant aller faire des photocopies, non ? Non, parce que la passion, c’est le moteur. Si t’as pas ça, même les meilleures recettes, les techniques les plus pointues, bah… ça sonne faux. Moi, je me souviens, ma grand-mère… elle, la cuisine, c’était une offrande. Un truc rempli d’amour. Et ça se sentait à chaque bouchée. Vous voyez ce que je veux dire ?

Et puis, la créativité ! Mon dieu, la créativité… C’est ce qui te sauve des dimanches soirs où t’as rien dans le frigo à part un oignon et un reste de pâtes. C’est ce qui te permet de pas devenir fou à force de refaire toujours la même chose. C’est aussi ce qui émerveille les gens, non ? Un peu comme quand j’ai improvisé, une fois, un dessert avec des abricots secs, de la ricotta et du miel… Une tuerie ! Qui aurait cru ?

Ensuite, esprit d’équipe, surtout si t’es en resto. C’est pas moi qui vais vous apprendre ça, hein. C’est chacun pour soi et… bah c’est la cata. On s’énerve, on se marche dessus, les commandes partent en vrille. J’ai vu des cuisines devenir de vrais champs de bataille, je vous jure !

Et physiquement, parlons-en ! On est debout des heures, on porte des charges, on se brûle, on se coupe… Aïe ! D’ailleurs, je me suis encore coupé hier en éminçant des carottes… Mais bon, ça fait partie du truc, pas vrai ?

L’hygiène, bon, ça, c’est la base. On en parle même pas. C’est comme se brosser les dents, quoi. Ou presque.

L’organisation ! Oh, l’organisation… C’est le truc qui te permet de respirer quand t’as 15 couverts qui attendent leur plat et que le chef te hurle dessus. J’ai une amie, elle a des petits codes couleurs pour chaque ingrédient, des étiquettes… C’est une dingue, mais ça marche !

La communication ? Essentielle. Faut savoir se faire comprendre, même quand t’es sous pression. Pas de “Je pensais que…” ou “J’ai cru comprendre…”. Non. Clair, précis, concis.

Et le stress… LE stress ! C’est le boss de fin de niveau. Tu le gères, t’as gagné. Tu le laisses te bouffer, t’es bon pour la déprime et… peut-être changer de métier. Sérieusement. Moi, je fais de la méditation, des fois. Bon, pas toujours, hein. Mais ça aide. Enfin… j’essaie.

Alors, être fort en cuisine… C’est un peu tout ça, quoi. Un mélange de passion, de talent, de sueur, de petites cicatrices et… d’un amour inconditionnel pour le goût. Vous en pensez quoi, vous ?