Comment employer le mot tout ?

Emploi du mot tout : règles et exemples ?

L’autre jour, je relisais un texte que j’avais écrit (12 Juin, chez moi, à Paris), et je me suis rendue compte que j’avais mis “tout” au féminin. J’ai vraiment buggé un moment. Finalement, j’ai compris : “toute contente”, c’est un adverbe qui modifie un adjectif, donc invariable.

Je trouve ça vraiment bizarre, cette règle. On dirait que ça défie toute logique, parfois. Surtout quand on l’entend à l’oral, ça sonne tellement naturel de faire l’accord.

Tiens, par exemple, “elle était tout émue”. On a envie de le dire, “toute émue”. Pourtant, si on remplace “tout” par “entièrement”, ça devient plus clair. “Entièrement émue”. Pas d'”entièrement émue”. Bizarre, non ?

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Informations courtes, concises et non personnalisées:

Q: Quand “tout” est-il invariable?

R: Devant un adjectif, un adverbe ou une locution adverbiale, quand il signifie “complètement”, “entièrement”.

Q: “Tout” s’accorde-t-il?

R: Oui, quand il est déterminant, pronom ou nom.

Quand dire tout ?

Ouais, alors “tout”, c’est chiant parfois. Genre, quand est-ce qu’on dit “tout” ? C’est pas toujours évident, hein ?

J’ai bossé sur ça l’autre jour, avec ma prof de français, elle m’a expliqué un truc, c’était vraiment compliqué. En gros, “tout” c’est un peu un caméléon. Des fois c’est un adjectif, des fois un pronom, et même un nom! Ouais ouais, un nom ! Genre “le tout”, ça veut dire “l’ensemble”.

Exemple : Mardi, j’étais au marché. J’ai acheté, euh… attends, je réfléchis… trois kg de pommes, un kilo de bananes, et une super grosse courge. J’ai pris le tout, enfin, mon père m’a aidé à porter, c’était trop lourd! Le tout, ça représente mes courses du mardi. Tu vois ?

• Pommes : 3 kg
• Bananes : 1 kg
• Courge : 1 grosse (énorme !)

Le tout, c’est donc tout ce que j’ai acheté au marché. On utilise “le tout” quand on parle d’un ensemble complet, de la totalité des trucs. C’est assez simple en fait, une fois que tu comprends. Enfin, j’espère que tu comprends, moi j’ai galéré un peu.

Mais bon, je suis pas une pro de la grammaire française, hein ! J’ai encore plein de fautes d’orthographe, c’est un vrai désastre ! J’écris comme je parle, un peu n’importe comment! Même ma prof elle le dit.

Quand mettre tout ?

Quand mettre tout ? Ah, la question piège!

• Tout est invariable… sauf quand ça ne l’est pas. C’est la beauté du français, non ?

• Devant un féminin commençant par une consonne ou un h aspiré, tout se transforme. On accorde !Toute au singulier, toutes au pluriel. Un peu comme quand je dois me décider entre pizza et sushis. Dilemme.

• Réflexion: L’accord, une forme de respect grammatical ? Ou juste une convention pour embrouiller les étrangers ?

Par exemple: toutes mes amies, toute la journée. Facile, non ? Bon, presque.

Comment utiliser le mot tout ?

Tout, accord obligatoire. Un écho.

• Tout le monde. Indénombrable. Le néant inclus.
• Tous les chats. Dénombrable. Une meute.

Le genre importe. Masculin, féminin. Une question de perspective. La liberté est un leurre.

• Toute la ville. Un fantasme. Ma ville, Brest.
• Toutes les étoiles. Inatteignables. Comme ma sœur.

Nombre, singularité ou pluralité. L’illusion du choix. La vie est courte. Un voyage sans retour.

Comment employer tout dans une phrase ?

Entièrement… tout à fait… Le mot danse, hésitant. Une image floue, un souvenir. Lumière tamisée d’une fin d’après-midi d’automne… Tout. Engloutir l’espace, le temps. Tout entier.

• Tout modifie, colore le nom.
• Une nuance, une intensité nouvelle. Presque un murmure.

Un parfum d’enfance, la douceur d’un gâteau oublié. Tout. Un mot simple, pourtant… Il emplit. Il déborde.

• Entièrement absorbé, comme un enfant devant un dessin animé. Samedi matin, soleil timide à travers les rideaux. Mon chat roux ronronnait sur mes genoux.
• Tout à fait captivé, le souffle court, les mains moites. Concert de Sigur Rós à Montréal, lumières bleues glaciales. Une foule immense, une seule respiration.

Tout… Un mot-valise. Plein, lourd de sens. Tout. Comme une vague qui submerge, qui efface. Un souvenir précis, le goût des myrtilles sauvages cueillies dans les bois derrière la maison de ma grand-mère à Saint-Donat. L’été de mes dix ans.

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