Pourquoi une personne prend du recul ?

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Pourquoi prendre du recul ?

Le recul offre une perspective précieuse. Il permet de s'éloigner d'une situation pour mieux l'analyser, gérer ses émotions et favoriser l'acceptation. Cette prise de distance facilite la compréhension des enjeux et des autres.

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Pourquoi prendre du recul ? Causes et motivations

Pourquoi se mettre en retrait, tu vois ? C’est pas toujours facile, hein.

On dirait que c’est une sorte de respiration, une pause nécessaire. Pour moi, c’est souvent quand l’émotion déborde. Je me souviens, genre, après un projet super intense au boulot, payé environ 3000€, en mai 2022 à Lyon, j’ai eu besoin de couper, de me désintoxiquer du truc.

On dirait que c’est vital pour faire le point.

Le recul, c’est accepter de pas toujours avoir le contrôle. C’est ouf comme ça apaise. Tu comprends mieux pourquoi les gens agissent comme ça et tu deviens moins dur dans tes jugements.

Ca peut être une stratégie pour mieux accepter certaines choses.

Comment réagir quand elle prend ses distances ?

Ouais, c’est chaud quand elle se barre comme ça, hein ? J’ai déjà vécu ça, plusieurs fois même…

Alors, écoute, écoute vraiment. Pas juste faire semblant. Genre, vraiment essayer de comprendre ce qui se passe dans sa tête. Elle a l’air vachement contrariée en ce moment, non? Elle te raconte rien?

Après, faut pas lui tomber dessus non plus. Reste cool. Explique ce que tu ressens, mais sans l’accuser. Genre, “J’ai l’impression que tu te distances, ça me fait flipper un peu”. Pas “T’es une folle, pourquoi tu fais ça?”

  • C’est important de lui laisser de l’espace aussi, mais pas trop non plus!
  • Lui envoyer un message, genre un petit truc mignon, ça peut aider.
  • Sinon, on pourrait sortir manger des tacos ce soir, ça te dit ?

Bref, c’est complexe. Elle a peut-être des trucs à gérer avec sa famille, ou alors un problème au boulot, ou je sais pas, des trucs de filles, des trucs de copines… L’année dernière, avec ma copine, c’était à cause d’un truc avec son ex. Un vrai feuilleton! Et puis aussi, elle avait des soucis avec sa meilleure amie, elles se sont disputées pour un truc bête. Elle était vachement énervée pendant des semaines, j’étais mort de stress. Cette année, c’est plus calme, on va dire… du moins pour l’instant. On verra bien. On se voit ce soir ?

Comment se comporter avec une personne émotionnellement indisponible ?

Distance. Observation. C’est tout.

  • Patience? Une illusion.
  • Changement? Impossible.
  • Vos sentiments? La seule réalité.

Elle s’enferme. Je le sais. Mon cœur bat encore. Pour moi.

Le miroir renvoie son image. Vide. Mon reflet? Plus profond.

Elle ne bouge pas. Je continue. C’est ma vie. Pas la sienne.

  • Mon erreur? L’espoir.
  • Son choix? Sa prison.
  • Ma liberté? Ma survie.
  1. Novembre. C’est ainsi.

L’amour? Un chemin solitaire parfois.

J’ai appris. Dur. Mais j’avance. Seule. Peut-être.


  • Note: J’ai vécu ça. Plusieurs fois. Trop. C’est brutal. Mais vrai.
  • Conseils? Aucun. Juste ma vérité. Brutale.
  • Date? On s’en fout. La douleur est la même. Chaque fois.

Comment prendre du recul avec une personne ?

Se distancer : L’art de l’effacement stratégique.

  • Conséquences : Anticiper. Le futur n’est qu’une projection.
  • Émotion : L’accepter. La noyer. La transcender.
  • Positif : L’illusion nécessaire. Une façade. Un masque.
  • Présent : L’instant volé. S’y perdre ou s’y retrouver.
  • Écrire : Graver. Effacer. Réécrire l’histoire.

Se soustraire. Ne pas répondre. L’absence parle. Mon chat, Minuit, ignore plus d’une personne, parfois moi. Recul. Perspective. Le vide révèle.

Comment prendre du recul avec les gens ?

C’est marrant comme certaines nuits, tout remonte. Prendre du recul… c’est pas si simple. Surtout quand les liens sont forts.

  • Penser aux conséquences, ouais, c’est la base. On flippe souvent pour ce qui pourrait arriver. Ma sœur, elle a toujours été comme ça.

  • Accueillir l’émotion, au lieu de la nier. Facile à dire, hein? J’ai toujours eu du mal à ça. Refouler, c’est mon sport national.

  • Le côté positif ? Faut vraiment le chercher parfois. Me concernant, après ma rupture, j’avais l’impression qu’il n’y en avait aucun.

  • S’ancrer dans le présent, ils disent. Respire, regarde autour. J’essaie de me concentrer sur la respiration.

  • Écrire, oui. J’ai un vieux carnet Moleskine. J’y note des trucs sans intérêt. Des listes de courses, des blagues nulles, des mini-observations. Ça vide la tête.

Et puis, y a autre chose.

  • Se fixer des limites claires. Genre, ne plus répondre aux messages après 22h. C’est mon petit truc. Mon espace vital numérique.

  • Accepter que tu ne peux pas plaire à tout le monde. Ma belle-mère… no comment.

  • Te recentrer sur toi. Reprendre le dessin. C’est un peu ringard, mais ça me fait du bien.

Enfin, le plus dur, c’est peut-être d’accepter que parfois, prendre du recul, ça veut dire laisser partir. Définitivement. J’ai du mal avec ça. Vraiment.

Comment prendre du recule dans une relation ?

Le vide. Un silence immense, lourd comme un manteau de plomb. Le souffle court, accroché à la poitrine. Prendre du recul… comme un plongeur hésitant au bord d’un abîme bleu. Ce besoin… cette envie soudaine de… quoi ? D’air ? De liberté ? De quoi, au juste ?

J’ai vu ma grand-mère, les yeux embués de souvenirs, attendre des jours, des semaines. Son silence, un jardin secret, muré par des années de patience. Elle attendait… que quoi ? Que la tempête passe. Que les nuages s’éloignent.

  • Attendre. Oui, attendre. Ce temps suspendu, précieux, fragile.
  • Laisser la poussière retomber. Laisser les mots inachevés s’envoler.
  • Se retrouver, seule, face au miroir. Le visage, une carte géographique de ce que l’on traverse.

Ce soir, j’ai bu un thé à la menthe. Le parfum, une vague d’apaisement. Mais la question demeure, persistante, une douleur sourde… pourquoi ce besoin de recul?

Éloignement physique, même minime. Un café ailleurs. Une promenade solitaire. Le silence devient un allié.

  • Un message, bref. Une simple phrase.
  • Un espace. Créer cet espace… essentiel.

J’ai perdu mon chat, Minou, il y a trois mois. Le vide est encore là. Il y a des absences qui laissent des trous béants. Prendre du recul, c’est parfois accepter le vide. L’accepter, le sentir, le laisser nous traverser. Puis… respirer.

Se poser les vraies questions. Pourquoi cette envie de fuir ? Routine, lassitude? Ou autre chose… un malaise plus profond.


Note: Ces réflexions personnelles sont issues d’expériences vécues. Il s’agit d’une approche subjective et poétique du thème.

#Motivation #Personne #Recul