Pourquoi certaines personnes veulent tout contrôler ?
Besoin de contrôle : une façade ? Derrière cette volonté de tout maîtriser se cache souvent une quête d'amour et d'approbation. L'apparence de force masque une fragilité, un désir profond de plaire et d'être aimé. Perfectionnisme et contrôle excessif deviennent alors des mécanismes pour obtenir reconnaissance et affection.
Pourquoi certaines personnes ressentent-elles le besoin de tout contrôler ?
L’obsession du contrôle… Je me rappelle, 15 juillet dernier, café avec Sophie à Lyon, place Bellecour. Elle voulait absolument choisir la table, les boissons, le sujet de conversation. Épuisant. 3,50€ le café, je crois. Je me suis dit, encore une fois, c’est plus profond que ça.
Ce besoin de tout gérer, ça masque souvent une énorme fragilité. Comme si en contrôlant l’extérieur, on pouvait maîtriser ses propres angoisses.
Perso, j’ai vu ça avec mon frère. Noël 2021, chez mes parents, à Nantes. Il a orchestré toute la journée, le repas, les cadeaux, les jeux. Stressant pour tout le monde.
En fait, il cherchait juste l’approbation, voulait qu’on le trouve bien. Derrière cette façade de “chef d’orchestre”, se cachait une peur terrible du rejet.
FAQ
Q: Pourquoi vouloir tout contrôler?
R: Souvent par insécurité, besoin d’amour, peur du rejet.
Q: Comment se manifeste ce besoin?
R: Envie de gérer tous les détails, difficulté à déléguer, anxiété.
Comment puis-je gérer une personne qui veut tout contrôler ?
Contrôler? Comme mon chat avec la télécommande. Solution: câlins stratégiques. Effet garanti… ou presque. Prouver son amour? Ok, mais attention, pas de guimauve! Un petit mot doux caché dans sa poche, un regard complice, ça fait l’affaire. Surtout, évitez les déclarations enflammées au mégaphone. Ralentir le rythme? Yoga tibétain ou karting sur glace? Tout dépend du spécimen. L’idée, c’est de la déconnecter de son tableau Excel mental. Reconnecter avec ses sens. Objectif: moins de contrôle, plus de lâcher-prise. Genre méditation sous un plaid avec du chocolat chaud. Euh… ou un cocktail explosif, ça marche aussi.
- Amour: Doses homéopathiques. Subtilité et mystère.
- Activités: Choisir en fonction du niveau de névrose du sujet.
- Objectif: Détente. Zenitude. Nirvana (si possible).
Perso, j’ai testé la randonnée en montagne. Résultat? J’ai perdu mon chat. Il s’appelle Schrödinger, d’ailleurs. Coïncidence? Je ne crois pas. Enfin, bref. Bonne chance!
Que cache le besoin de contrôle excessif ?
Peur du vide existentiel ? Possible. Envie de diriger l’orchestre du chaos ? Probablement. Se sentir en sécurité, c’est mignon, mais avouons-le, contrôler, c’est jouer à Dieu en version miniature, avec des résultats… disons, variables. On se rassure comme on peut, hein ? Surtout face à l’imprévu, ce tsunami d’aléas qui menace nos châteaux de cartes (et nos agendas millimétrés).
- Angoisse latente : L’angoisse est un papillon de nuit attiré par la lumière vacillante de notre volonté de contrôle. On veut tout maîtriser pour ne pas la voir voleter.
- Manque de confiance (en soi, en l’univers, en la météo) : Quand on doute de tout, on serre les boulons, au cas où. On se cramponne au gouvernail, même si le bateau est à quai.
- Besoin de prévisibilité: Parce que la vie, c’est comme une boîte de chocolats… périmés. On préfère connaître la date de péremption avant de croquer dedans.
Ma tante Agathe, par exemple, contrôle la cuisson de ses œufs durs avec un chronomètre atomique. Moi, je laisse faire le hasard, et je m’adapte. C’est comme ça que j’ai inventé l’œuf dur-mou-presque-liquide. Un délice.
En résumé, le contrôle excessif, c’est une béquille pour l’ego, un pansement sur une fracture intérieure. On construit des murs pour se protéger du vent, mais on finit par s’enfermer dans un bunker sans fenêtres. Ironique, non? D’ailleurs, hier, j’ai perdu mes clés. La panique.
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